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LENDOSPHERE crowdfunding - interview de Laure Verhaeghe

Interview réalisé par Kay, 16 juillet 2023

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Lendosphere crowdfunding : interview – Je suis ravie de partager avec vous mon interview avec Laure Verhaeghe, Co-fondatrice et Présidente de Lendosphere

Lendosphere est une plateforme de crowdfunding dans la transition énergétique et écologique dont la croissance est impressionnante. 

J’ai d’autant plus apprécié cet échange qu’il s’agit d’une femme investisseuse et entrepreneure. Ce qui est extrêmement rare dans le secteur.  

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Interview

Pouvez-vous vous présenter, nous parler de votre parcours ? 

Laure Verhaeghe – Je m’appelle Laure Verhaeghe, je suis la co-fondatrice de Lendosphere que nous avons créée en 2014 avec mon associé Amaury Blais

Je viens du monde du journalisme. J’étais journaliste en presse écrite pendant plus de 6 ans dans un média spécialisé dans le développement durable qui s’appelle Valeurs Vertes. Cette spécialisation sur les questions du développement durable me vient de convictions fortes et d’un réel souhait de pouvoir apporter une pierre à l’édifice sur tout ce qu’il faut faire aujourd’hui pour répondre aux défis climatiques et environnementaux. 

Donc on peut dire que votre expérience chez Valeurs Vertes vous a conforté dans votre décision de lancer la plateforme Lendosphere ?

Laure Verhaeghe – Oui. Durant ces 6 années passées chez Valeurs Vertes, j’ai rencontré et côtoyé des experts sur des sujets très variés aussi bien sur les enjeux de biodiversité, d’eau, d’agriculture, d’aménagement… Mais mes sujets de prédilection étaient déjà ceux de l’énergie et de la finance, ce sont d’après moi les deux axes par lesquels l’action peut et doit être la plus efficace. 

L’énergie, parce que la priorité c’est de décarboner le mix énergétique qui est aujourd’hui mondial. Donc passer d’un recours majoritaire aux énergies fossiles à l’utilisation, le déploiement et l’accélération des énergies renouvelables pour réduire drastiquement et le plus rapidement possible nos émissions de CO2.

L’autre enjeu c’est celui de la finance : sans réorienter les flux financiers – qui sont massivement fléchés vers les énergies fossiles – vers les énergies renouvelables, on n’y arrivera pas. 

Ce sont ces deux enjeux qui se trouvent aujourd’hui au cœur des défis climatiques et pour lesquels, en créant Lendosphere, nous avons apporté notre pierre à l’édifice. 

Nous permettons aux particuliers de mieux comprendre ces enjeux, de s’en saisir et de faire en sorte que leur épargne soit cohérente avec leurs valeurs, leurs convictions et ces défis que nous devons relever aujourd’hui. 

Notre conviction est le point de départ de la création de Lendosphere. 

En quelques mots quelle est la mission de Lendosphere ?

Laure Verhaeghe – C’est de permettre à tous d’investir dans la transition énergétique de façon directe, simple et transparente

Quand on parle de crowdfunding, les gens ont parfois la perception que ce sont de petits projets portés par des particuliers avec une rentabilité faible. Sur la plateforme de Lendosphere, nous proposons des projets portés par des entreprises de renom du secteur. Ce type de projets ne sont plus uniquement réservés à des investisseurs avertis, professionnels, ou institutionnels

Nous avons cherché à démocratiser l’investissement dans les énergies renouvelables et à être un levier de partage de valeur de ces projets d’énergie propre et décentralisée dans les territoires.    

Pouvez-vous nous apporter plus de précisions sur ce que Lendosphere finance ? 

Laure Verhaeghe – Notre positionnement est de financer la transition énergétique et écologiqueNous finançons aussi bien des fermes éoliennes, des centrales solaires, un peu de centrales hydrauliques, des unités de méthanisation et des réseaux de chaleurs.

Il est vrai que nous nous sommes concentrés sur les projets de transitions énergétiques parce que ce sont des projets qui offrent une très bonne visibilité sur leur rentabilité et donc sur la sécurité que nous apportons aux investisseurs. 

Ce point est notre priorité depuis le début : aujourd’hui Lendosphere n’a rencontré aucun défaut sur les 470 projets accompagnés et sur les 220 millions d’euros levés.

Chiffres cles Lendosphere

Sur la progression, elle est très forte. Le montant collecté sur Lendosphere a progressé de +70 % en 2022 par rapport à l’année précédente. Sur les 228 millions investis sur la plateforme depuis sa création, 100 millions l’ont été durant les 18 derniers mois.

A ma connaissance, vous êtes une des seules plateformes sans retard de plus de 2 mois. Quel est votre secret ? 

Laure Verhaeghe – Alors, on rappelle que le risque zéro n’existe pas. En revanche, nous avons une très bonne expertise du secteur auquel on s’adresse et nous avons une approche très conservatrice sur les dossiers qui nous sont présentés. 

Nous n’avons jamais mis en ligne un dossier sur lequel nous n’étions pas à l’aise pour une raison X ou Y. On arrive à obtenir de très bons résultats en termes de progression et de volumes levés sans jamais sacrifier la qualité de l’analyse et des dossiers. On n’a jamais cherché la course aux volumes et on a toujours préféré se concentrer sur la qualité des dossiers. 

Et aujourd’hui notre communauté d’investisseurs nous le rend bien. 75% de nos investisseurs sont récurrents et c’est une fidélité qui augmente année après année ainsi que le ticket moyen investi par personne (aujourd’hui autour de 1745€). On peut investir à partir de 50€ sur Lendosphere sans frais.  

Comment expliquer votre performance et pensez-vous qu’il est possible de la maintenir à l’avenir ? 

Laure Verhaeghe – Pour l’absence de retard de plus de 2 mois et l’absence de défaut, cela repose aussi sur la qualité des signatures des entreprises qu’on accompagne. Pour citer quelques noms connus ou qui raisonneront, nous travaillons avec EDF renouvelables, ENGIE Green, Voltalia

Et aussi des noms très connus dans le secteur, mais peut-être moins du grand public comme CNR ou Valorem qui sont de très belles PME, ETI françaises et qui existent dans le secteur depuis plus de 15-25 ans pour certaines. 

Elles réalisent plusieurs centaines de millions d’euros de chiffre d’affaires et emploient des centaines de personnes pour certaines. Donc ce sont des entreprises très solides, matures avec une très grande expertise dans le développement, le financement, la construction et l’exploitation de projets d’énergies renouvelables. 

Nous regardons à la fois la qualité du projet que nous finançons et la qualité de l’entreprise qui porte le projet. C’est une analyse à deux niveaux à chaque fois sur les financements que nous proposons. 

Ceci offre une sécurité supplémentaire à l’investisseur qui va trouver que les rendements sont plus faibles qu’en crowdfunding immobilier, mais avec une qualité de signature qui explique ces rendements qui sont aujourd’hui autour de 7%.  

Nous avons en effet répercuté la hausse des taux sur les campagnes depuis septembre 2022. Le rendement global depuis qu’on existe est à 5,55% mais celui qui est présenté en ligne est aujourd’hui de 7% (2023).   

Quelles sont les spécificités de Lendosphere comparé à d’autres plateformes de crowdfunding d’autres secteurs d’activité ?

Laure Verhaeghe – L’activité historique de Lendosphere est de favoriser le partage de la valeur localement. Comment je permets aux riverains du projet d’investir dans ce projet et de bénéficier de ses retombées financières au niveau local. C’est-à-dire, comment je créée un circuit court entre le riverain et le projet afin de lui permettre de bénéficier de la rentabilité de ce projet qui s’inscrit sur son territoire.

Le financement participatif dans la transition énergétique vient apporter une solution très simple à mettre en œuvre pour le développeur d’énergie renouvelable. Et également très simple à comprendre et à mettre en œuvre côté investisseur et riverain. 

C’est souvent une réponse à une attente territoriale des élus, des riverains, des agriculteurs qui accueillent les projets sur leur territoire ou sur leur terrain. 

Donc nous avons pas mal de campagnes sur la plateforme qui sont réservées géographiquement et qui, donc, répondent à ce souhait partagé de générer de la richesse localement grâce à valorisation des ressources sur le terrain.

Pourquoi ces entreprises solides financièrement font-elles appel à vous plutôt qu’à une banque dont les taux d’intérêts sont plus faibles ?

Laure Verhaeghe – Il y a plusieurs raisons à cela. Depuis 3 ans maintenant, et grâce à l’accélération et à la progression de notre base d’investisseurs, on arrive à répondre à des besoins de financement de projets de plus en plus nombreux. 

Aujourd’hui, on fait totalement partie du paysage des outils de financement dans le secteur des énergies renouvelables parce qu’on est capable de couvrir des besoins de plusieurs millions d’euros.  

Lendosphere apporte un levier de financement complémentaire et rapide. On ne remplacera jamais le financement bancaire  : pour ces entreprises,  le financement bancaire porte sur 10, 15, 20 ans et il est plus compétitif que nous en termes de taux. Mais il est aussi plus long à mettre en place et plus complexe. 

Et nous, nous pouvons par exemple apporter ce qu’on appelle du financement bridge. Lorsque le projet est prêt à construire et que le financement bancaire n’est pas encore obtenu, nous apportons les fonds via le financement participatif. Ce qui permet de commencer à lancer le chantier et à accélérer la mise en service de l’installation. 

Quelle est la répartition des projets entre ceux proposés localement et nationalement ? 

Laure Verhaeghe – Historiquement on avait plus de campagnes locales mais aujourd’hui ça s’est inversé. Désormais, en terme de volumes, les campagnes nationales sont largement au-dessus des locales. 

Ce sont des campagnes qui sont souvent entre 1 et 8 millions d’euros et qui donc, laissent pleinement la place et l’opportunité d’investir dans ces projets.

En terme de nombre de projets je dirais qu’on a autant de projets réservés localement que de projets ouvert à tous. 

On a déjà ouvert 54 projets depuis le début d’année versus 105 projets mis en ligne l’année dernière [2022]. Cette année, on présentera entre 120 et 140 projets de financement participatif pour la croissance verte.

Dans le contexte macroéconomique actuel et après la récente crise énergétique, comment voyez-vous l’avenir du financement participatif dans les énergies vertes ? 

Laure Verhaeghe – Le secteur des énergies renouvelables ne peut que progresser parce qu’il répond à une urgence climatique et au défi de souveraineté énergétique qui ont été rappelés l’année dernière [2022] avec la guerre en Ukraine. Si on regarde les chiffres de notre déficit commercial lié à notre importation d’énergie fossile, c’est juste colossal.

La conséquence directe de la crise énergétique a été, au niveau européen comme au niveau français, d’inscrire dans le cadre législatif et réglementaire l’accélération des énergies renouvelables.  

Aujourd’hui ce sont des énergies qui sont matures avec des technologies éprouvées et qui offrent un kilowattheure le plus compétitif.  

En dehors de toute considération climatique et écologique, aujourd’hui le solaire et l’éolien c’est l’électricité la moins chère, la plus stable et qui offre la meilleure visibilité dans le temps

C’est de plus un levier d’indépendance énergétique donc quoi qu’il arrive c’est un secteur qui sera en progression constante et forte dans les années et les décennies qui viennent.  

Ce secteur ne connaît pas la crise, c’est un sous-jacent, un socle. On a besoin d’énergie et on a besoin qu’elle soit produite localement. De plus, on a besoin qu’elle soit décarbonée et la moins coûteuse possible. 

A cette équation, seules les énergies renouvelables peuvent répondre de façon efficace dans la rapidité de développement et de mise en service. L’année dernière c’est plus 3 GW de puissance qui ont été installés c’est l’équivalent de 3 réacteurs nucléaires. 

Et nous constatons que les acteurs du secteur sont tous en train d’embaucher et d’étoffer leurs équipes avec un développement des portefeuilles de plus en plus important et par conséquent, des besoins de financement de plus en plus importants. 

L’équation économique n’est pas toujours simple pour les projets parce qu’ils ont également subi la hausse des taux et l’inflation, mais l’électricité a aussi été vendue plus cher et a permis de compenser. Nous avons eu quelques reports de projets, en tout cas de financement de projets et nous restons très très attentifs. 

Mais, c’est un secteur qui reste un piliers essentiels donc de toute façon il y a de belles perspectives. Finalement, c’est un secteur qui est porté par un nombre assez limité d’acteurs. Il y a peut-être 150 – 200 entreprises très installées dans le secteur et on a travaillé avec près de la moitié d’entre elles. 

Qu’est-ce qui distingue Lendosphere des autres plateformes de financement participatif dans la transition énergétique ? Quel est votre atout principal ?

Laure Verhaeghe – Nous avons plusieurs atouts. 

Notre expertise et cette attention portée au niveau territorial avec un accompagnement sur mesure des développeurs et une analyse de la structuration des projets très bonne. L’ancrage local des projets nous paraît vraiment essentiel pour que cette transition énergétique se passe la plus harmonieusement possible. 

Notre singularité, c’est également l’actionnariat de Lendosphere. On appartient à la société de gestion « 123 IM » qui est indépendante et existe depuis plus de 20 ans. Ce qui nous permet d’accélérer sur le volet professionnel institutionnel de notre base d’investisseurs. On travaille avec le fonds « 123 transition énergétique » qui co-investit avec les particuliers sur certains projets. 

Cela permet aussi une ouverture à un plus grand nombre d’opportunités d’investissements habituellement dédiées aux investisseurs professionnels. 

Côté investisseurs, nous proposons des projets variés avec différentes modalités de remboursements. Par exemple, le remboursement amortissable [capital + intérêts] qui peut être complété avec du in fine pour diversifier son portefeuille. 

Enfin, la place de la femme puisque la cofondatrice est une femme et l’équipe est composée de 6 femmes et trois hommes et donc on a une parité « inversée ». Ce qui est rare surtout dans le secteur financier. 

Justement, j’ai réalisé un sondage sur les réseaux sociaux où l’écrasante majorité pense que les femmes ont une plus forte conscience écologique. Pourtant, dans les faits, force est de constater que les hommes investissent plus dans ce secteur. Quel est votre avis sur cette question ? 

Laure Verhaeghe – Je crois même que les hommes investissent plus tout court donc, fatalement dans la transition énergétique.     

J’ai lu une étude qui disait que 1 % des interventions médiatiques sur les sujets de finance et de business étaient portées par des femmes en 2021. Mais ce qui ressort aussi des études c’est que si les femmes investissaient plus, elles le feraient dans des entreprises qui ont du sens notamment environnemental ou social. 

Il y a ce « gender investing gap » qui est très fort aujourd’hui où les femmes sont moins nombreuses à investir et quand elles investissent, elles investissent moins que les hommes. Les raisons sont diverses : il y a un écart de salaire qui est un peu la base. 

Après, historiquement, la femme est écartée des lieux ou des cénacles de l’investissement. Il y a également cette auto-censure sur le « c’est compliqué », « ça ne m’est pas accessible ». 

Ce n’est pas parce qu’elles comprennent moins bien, mais c’est parce qu’elles se posent plus de questions : « à quoi sert mon épargne, comment je trouve des projets concrets, que je comprends ». Et quand on a un secteur qui est très fortement financiarisé avec un nombre d’intermédiaires important entre l’investissement et ce qu’on finance réellement, ce sont des questions qui sont tout à fait légitimes. 

Et pour cela le financement participatif permet de revenir à plus de simplicité avec le financement d’un actif tangible concret

Il vient répondre à cette question du sens qui est essentielle : à quoi sert mon épargne et comment je peux être certaine que je n’investis pas dans les armes ou les industries polluantes ?

Quelles sont les ambitions de Lendosphere pour l’avenir et que pouvons-nous souhaiter à la plateforme ?

Laure Verhaeghe – D’avoir plus de femmes dans notre base d’investisseurs 🙂 Et continuer à faire ce que nous savons bien faire c’est-à-dire financer la transition énergétique et écologique et d’accélérer car il y a urgence. 

Nous souhaitons chez Lendosphere permettre au plus grand nombre d’y participer et de bénéficier de ces retombées. 

Donc continuer à progresser sur ce secteur-là et élargir sectoriellement parce que la transition énergétique est vaste. Elle ne se concentre pas juste sur la production d’énergie renouvelable mais aussi sur tous les enjeux de performance énergétique et de sobriété

Nous avons opéré et nous comptons accélérer dans les années qui viennent dans la rénovation énergétique du bâtiment à la fois résidentiel, secondaire et tertiaire. Nous allons continuer avec des entreprises avec la même qualité de signature que dans le secteur des énergies renouvelables

Nous avons également un enjeu international de court terme 2024-2025 pour nous ouvrir aux projets européens. 

Nous accompagnons des entreprises qui pour certaines connaissent des croissances à deux chiffres et qui ont des portefeuilles en développement en France et à l’international. 

Selon les dernières prévisions de l’Agence internationale de l’énergie, en 2023, il y aura plus d’argent investi dans le solaire que dans le pétrole.

Nous vivons aujourd’hui une rupture créatrice et ces infrastructures industrielles ont des visibilités sur 15-20 ans. Charge à nous de les accompagner dans leur développement.  

Pour les chiffres, nous sommes conservateurs sur la qualité des dossiers, mais on vise jusqu’à 100 millions d’euros de collecte cette année. Et nous avons le fonds « 123 transition énergétique 1 » qui va se clôturer fin juillet 2023 et le deuxième millésime (« 123 transition énergétique 2 ») qui va prendre le relai.

Avez-vous un autre point à rajouter ?

Oui, nous sommes fiers d’annoncer que le Fonds Européen d’Investissement a confirmé son investissement dans le deuxième millésime 123 transition énergétique. Ceci vient approuver la qualité du dealflow que nous avons. 

Nous offrons un bonus de bienvenue aux lectrices et aux lecteurs du blog mission réussite financière avec le code MRF30.

Merci pour cette discussion passionnante ! 

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F.A.Q – Questions fréquentes Lendosphere

LENDOSPHERE est une plateforme de crowdfunding dans les énergies renouvelables et plus globalement dans le développement durable. La plateforme met en relation des porteurs de projets et des financeurs particuliers et professionnels. Une fois la souscription réalisée, le porteur de projet débute son opération et l’investisseur perçoit des intérêts durant ou à la fin du projet. 

NON. A ce jour, la plateforme de financement participatif LENDOSPHERE ne prélève aucun frais aux investisseurs qui financent le projet. De plus, le rechargement du compte investisseur par CB est gratuit. Le paiement par CR permet d’éviter le cash drag où l’argent est mobilisé sur le compte investisseur sans travailler. 

Selon nous, un des gros avantages de Lendosphere, outre le fait d’investir et de soutenir la croissance verte, se trouve dans les modalités de remboursement du prêt. En effet, la plateforme de crowdfunding lendosphere propose plusieurs montages dont le remboursement par amortissement. Ce dernier permet de recevoir, en plus des intérêts, une partie du capital. N.B : tous les prêts ne sont pas amortissables. 

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